Le Hasard Fait Bien Les Choses [Libre]

Cela faisait deux ans que la jeune femme avait quitter l’Angleterre et cela pour affaires personnelles, bien trop douteuses pour être exposées. Elle avait dès lors voyager autour du monde, cherchant tout d’abord a approfondi ses connaissances en matière de magie puis finalement, elle s’était décider a revenir en Angleterre, pays ou elle avait passer la plus grande partie de sa vie et il fallait avouer que cela lui manquait. Mais la véritable raison n’était pas celle-là. Jeune femme s’était fait enrôler parme les Mangemorts juste avant la chute de Voldemort, elle se devait a présent de revenir auprès de lui, même si elle savait qu’elle ne serait pas bien reçut. Belisse avait certes cherché le Seigneur des Ténèbres, mais cela sans grands résultats et a force elle avait cessé toute activité, elle craignait donc la réaction qu’il pourrait avoir face a elle.

Belisse était une jeune femme qui avait fait ses études à Poudlard dans la maison de Serpentard, chose peu étonnante d’ailleurs. Quoique le vieux bout de tissus avait failli la placer dans la maison de Rowena, une honte pour sa famille et finalement elle avait atterri dans la maison des Vert et Argent. A présent, elle était Medicomage et travaillait à Ste Mangouste.

La jeune femme, vêtu d’une longue cape couleur bordeaux se dirigeais vers l’allée des embrumes, plusieurs personne lui jetèrent des regards suspicieux lors de son entrer dans cette ruelle réputée pour être mal famé, ce qui n’était nullement faux, mais elle avait certaines choses a régler. Alors que Belisse marchait dans l’allée, fusillant chaque personne du regard pour le mépris lisible dans leurs yeux, elle percuta quelqu’un à l’angle d’une ruelle …

Je marchais dans les rues du chemin de traverse, vêtu d'un colle roulé noir ainsi que d'une longue cape portant le blason de Serpentards . J'étais à la recherche d'une boutique assez intéressante, même si je savais pertinemment que je ne trouverai pas mon bonheur ici . Pour quelqu'un comme moi qui aime la magie noir, ce n'est pas dans c'est lieux là qu'il faux chercher . C'était donc pour cela que j'étais partis comme je le faisait souvent dans les ruelles sombres et humides de l'allée des embrumes . J'avais souvent l'habitude de traîner dans c'est endroits mal fréquenté, et beaucoup de sorciers et de sorcières me connaissaient grâce à mon père même si il est mort mais aussi grâce a ma mère . Il y avait peu de monde et les ruelles étaient sombres, ont ne voyaient même pas où l'on posé nos pieds . Je tourna ensuite dans un autre petit coin sombre qui ressemblait fortement aux autres endroit sûrement a cause de ce rideau de brume qui empêchait de bien voir . Soudain un homme surgit de nul par avec toute un atiraille de magie noir, sa tête m'inspirai peu confiance, je prêta donc une seconde d'attention a ce vieux fou et a ces potions et autres choses de ce genre ...
Puis, je continua de marchais droit devant vers une autre ruelle qui paraissait encore plus sombre que les autres .
Une fois au bout, je tourna a l'angle d'un magasin de magie noir, mais je ne m'arrêta pas pour regarder . Les boutiques ce ressemblaient toutes ici et moi je cherchais un truc hors du commun . Je continua donc ma route avant d'être percuté par une personne . C'était une jeune femme , apparemment elle n'était pas très connut ici à en voir le regard que les autres sorciers et sorcières lui lançaient . C'était assez curieux , mais j'avais l'impression de l'avoir déjà rencontrais . J'étais d'assez bonne humeur aujourd'hui, alors je me contenta juste de dire :

- Bonjour .

Belisse leva les yeux vers l’inconnu et se regard se porta instinctivement vers le blason du jeune homme. Tient, Serpentard, au moins une personne qui pourrait être intéressante. De toute manière, il ne pouvait s’agir d’un élève d’une autre maison quoique … Mais certainement pas Gryffondor, vu que ceux-ci étaient trop attachés a leurs principes. La jeune femme n’allait nullement s’excuser, et puis quoi encore.

- Bonjour … Un élève de Poudlard en ces lieux, que fait donc un gamin dans l’allée des Embrumes ?

Belisse savait que l’arrogance chez ce genre de personne était assez élevée pour tout dire, d’ailleurs elle-même en possédait une grande partie. Mais les traiter de gamin était une chose amusante puisque cela semblait être la même scène qu’elle avait vécu auparavant. Elle, petite élève de Serdaigle, entrer dans une allée si mal famé.

La Mangemort observa un instant les personnes aux alentours qui ne cessaient de lui jeter des regards, elle se contenta cette fois-ci de lever les yeux au ciel en signe de protestation. Qu’avait-elle de si particulier pour être regarder comme un animal de foire ?

[HJ: desoler du faible post, peu d'inspi xD]

Je regardais la jeune femme , ou plutôt je la dévisagea . Je n'aimais pas trop que l'on me bouscule et j'attendais quelques explication de sa par . J'essuyai donc du révère de ma main , ma cape de sorcier quelle venait toucher Lorsqu'elle m'avait bousculée , c'était en quelque sorte de la provocasion . Puis elle me posa une question assez désagréable , je su tout de suite quelle ne venait pas souvent en ce lieu . Elle ne me connaissait pas moi Blaise Zabini . Je fronça un sourcil tout en m'appuyant contre le mur de pierre a côté de moi avant de lui répondre d'une voix froide et sec :

Je t'en pose moi des question !

Je croisa ensuite les bras , en lui lançant un regard noir . Je n'avait pas du tout apprécier cette question , elle avait presque réussit a me vexer . Puis j' ajouta ensuite toujours avec cette froideur dans la voix :

T'es qui toi d'abord ?

Je regarda ensuite les personnes autour de moi qui regardaient la jeune femme insolente avec mépris , elle aurai mieux fait de rester traîner au chemin de traverse , car ici elle n'avait pas l'air d'être la bien venu .

[ HJ : Moi non plus , je n'étais pas impiré XD ]

- Tient, je vois que les politesses risqueraient de te fouler la langue. Etrange pour un sorcier de la famille Zabini de tutoyer les gens ainsi. Ou peut-être n’êtes vous pas digne d’eux, ce qui est fort probable d’ailleurs.

Contrairement a ce qu’aurait pu penser le jeune homme, Belisse savait parfaitement a qui elle avait a faire. Un des rejetons des Zabini, une famille au service du Seigneur des Ténèbres. De toute manière, il n’était guère compliquer de deviner cela, car un élève ne se promène pas dans ce lieu sans avoir certaines connaissances plutôt douteuses, comme la jeune femme d’ailleurs. Sauf que pour elle, les connaissances étaient limitées dans l’allée des Embrumes. Et cela était normal ayant voyagé aux quatre coins du monde, elle ne pouvait être reconnue ici, mais qu’importe les regards de haine, elle se contentait d’en assener des meurtriers.

- Pour votre information je me nomme Belisse Windergast. Et inutile de me regarder avec tant de mépris parce que vous ne connaissez pas ma petite personne. Quand a vous votre nom de famille me suffit amplement Zabini, un gosse destiné a suivre les traces de son père n’est-ce pas ?

Un sourire se dessina sur les lèvres de Belisse, ainsi elle avait presque reveler son identité. Tout du moins en partit, car ainsi le jeune homme serait en doute, était-elle Mangemort ou Auror ? Cela était fort amusant pour la jeune femme, semer le trouble partout là ou elle passe. Cela en était presque devenu un jeu pour elle et beaucoup se laissaient prendre au piège de ses manipulations.

- Sache que je tu toi qui je veux et ce n'est sûrement pas une misérable comme toi qui va m'en empêcher ! Et pour t' on information Miss , je suis digne d'être un Zabini depuis ma naissance . Et pour finir , mon père est mort alors ne joue pas les voyantes !

Je ne supporté pas que l' on parle de mon père car cela réveillait d'anciens souvenir douloureux . J'avais été fortement marqué durant un long moment , et lorsque la jeune femme me fit cette remarque , je serra les points prêt a lui en mettre une pour lui apprendre a ne pas ce mêler de ma vie prives . Et puis Windergast c'étaient qui eux ? La seul chose de positive en elle était qu'elle n'avait pas froid aux yeux de parler de la sorte a un Zabini . Je remarqua très rapidement quelle parler beaucoup pour une simple sorcière , mais aussi qu'il commerçait a y avoir foule autour de nous deux même si c'était assez prévisible . En général , les sorciers et sorcières qui fréquentaient L'allée des Embrumes aimaient beaucoup les embrouilles et je savais aussi pertinemment que si sa venait a mal tourner , bon nombre d'entres eux seraient de mon côté .

- Voyons tu ferrais mieux de mesurer tes paroles en présence, imbécile. Car ce n’est pas un gosse qui va réussir à me menacer.

Belisse avait sortit sa baguette dans un geste bien trop rapide pour le jeune homme, oh elle n’avait pas l’intention de lui lancer un sortilège en pleine rue, mais si il le fallait alors la jeune femme ne se gênerait pas, bien au contraire. Elle se contenta d’esquisser un léger sourire, étrange.

Tient, donc, alors le père du garçon était mort ? Il fallait aussi avouer que Belisse n’avait que faire des autres Mangemorts, tant que sa petite personne n’était pas atteinte, c’est tout ce qui comptait pour elle. Et puis comment il était mort ? Cela intriguait la jeune femme qui ne pu s’empêcher de poser la question, bien entendu vu sa curiosité qui ne faisait que de grandir.

- Mort ? Vraiment … Alors le Seigneur des Ténèbres n’a plus jugé utile de le garder dans ses rangs ? C’est fort probable après tout.

La jeune femme s’avança alors vers le jeune homme, sa baguette dans sa main droite, mais pendant le long de son corps. Et tous ces regards incessants, si cela continuait ainsi ses envies de meurtres ne tiendraient guère longtemps. Pour qui la prenait-elle ? Une Auror stupide au point de venir risquer sa vie dans un lieu pareil ? Et puis quoi encore. Belisse était Mangemort et qu’importe les apparences, d’ailleurs ne dit-on pas qu’elles sont trompeuses la plupart du temps ?

- Etre a ce point sur la défensive relève bien souvent de la peur. Si je t’attaquais, a ton avis, qui serait là pour sauver un simple gamin ? Car je suppose que tu comptes sur les gens qui me regarde étrangement, mais vois-tu, tes opinions a mon égard risque d’être fort différent de ce que je suis réellement.