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Ça serait tellement bien de se réveiller après avoir passé une bonne nuit réparatrice, ce qui n'arrivera apparemment jamais à notre Très Chère Alana. En effet, lorsqu'elle se réveilla ce matin, ce n'était pas très jolie à voire, surtout le moment où on la voit crier.


¤~¤FlashBack¤~¤


Alana se réveilla en entendant une fille tomber dans les escaliers, courant le plus vite qu'elle pouvait rien que pour aller maner.
* Les gens sont des bouffons de nos jours ! * Pensa-t-elle.
*A moins qu'elles n'aient pas assez d'argent pour se payer un petite déjeuner. * Se dit-elle ironiquement.
Elle compta jusqu'à cinq et se décida enfin à se lever. Elle roula sur le côté ( idée stupide, vous le verrez par la suite ). Normalement, elle devait encore être sur le lit, puisqu'elle n'avait fait qu'un tour, mais contrairement à ce qu'elle croyait, elle était à terre, encore sonnée du choc.
Dans son manoir, son lit devait être trois fois plus grand, se qui expliquait tout. Elle se croyait chez elle.
Reprenant lentement ces esprits, elle cligna des yeux l'air ébahi avant d'ouvrir la bouche d'où sortit un son aiguë. Elle criait. Elle était tombé sur les fesses, normal, non ? Son crie ne provoqua rien, tout le monde étaient en bas, pour manger bien tranquillement leur petits toasts avec leur bouillie alors qu'elle avait une douleur cuisante aux fesses.


¤~¤Fin du FlashBack¤~¤


Elle se releva péniblement et entreprit enfin à ses préparer, avec une flemme non feinte. Les cours avaient peut-être commençaient, elle n'en savait et elle s'en fichait. Lorsqu'elle fut enfin prête, elle attrapa la lettre qu'elle avait écrite la veille pour raconter comment c'était passé la Répartition et lui dire dans qu'elle maison elle était allé, mais il s'y attendait sûrement.
* Et je doute qu'il ait le temps de la lire ! *
Ça lui était arrivé, une fois. Il avait demandé à sa bonne de lui répondre à sa place, puisqu'il n'avait pas le temps, phrase typique des parents. Bien sur, elle ne l'avait pas découvert.
Elle descendit les escaliers après avoir fait une révision de ses habits dans le miroir. Jean délavé et débardeur. Elle n'irait pas en cour aujourd'hui, simplement. De toute façon, elle n'aurait pas trop envie d'écouter ce que le prof lui dirait de sa voix monotone. Elle descendit les escaliers, attendant quelque minutes de plus lorsque ceux-ci bougeaient, ce qui l'énervait. Enfin arrivée à la Volière elle appela son hiboux et lui donna la lettre. Celui-ci la regardait bizarrement, sûrement parce qu'elle l'avait réveillé. Pffff ! Pas grave, il dormirait lorsqu'il reviendrait, c'est tout. Lorsqu'elle se retourna, elle vit une personne. Cette personne devait sûrement sécher les cours, elle aussi.